• *Toc, toc.*

    "Qui est là ?"

    - Nouvelle.

    - Nouvelle QUI ?

    - Nouvelle Saison !

    - 2013-2014 ? DÉJÀ ? Mais j'ai pas encore fini votre stock de pilotes de 2012, moi...

    - Oui, ben, écoute, mon coco, t'es bien gentil, mais j'ai pas fait le déplacement pour rien, moi, alors tu vas me faire le plaisir de regarder ce que j'ai à te proposer sans broncher...

    - Bon, ben, si vous le dîtes comme ça... C'est parti, mon kiki !

    Et voici comment je me retrouve aujourd'hui à commencer à vous parler de la rentrée des séries, en attendant de poursuivre le challenge de la saison dernière avec ladyteruki.

    Début des festivités avec le premier pilote de cette rentrée :

    Sleepy Hollow 01x01 - Pilot

    Cette année, c'est FOX qui ouvre le bal avec Sleepy Hollow, son adaptation libre de la célèbre nouvelle de Washington Irving du même nom.

    Qui, quand, où ?

    Pas moins de quatre messieurs se sont mis à l'ouvrage pour nous proposer cette entrée en matière. Len Wiseman assure la réalisation de cette histoire qu'il a concoctée avec Alex Kurtzman, Roberto Orci et Phillip Iscove, qui ont pour leur part concentré leurs efforts sur le script. La première diffusion sur FOX a eu lieu le 16 septembre 2013.

    C'est avec qui ?

    La distribution principale est composée de Tom Mison (Ichabod Crane), Nicole Beharie (Abbie Mills), Orlando Jones (Frank Irving) et Katia Winter (Katrina Crane).

    De quoi ça parle ?

    Sleepy Hollow, 2013. Le professeur Ichabod Crane se réveille dans une cave, 232 ans après la bataille qui lui a été fatale. Il est appréhendé par la police locale après le meurtre du shérif August Corbin car son accoutrement ressemble à celui de l'individu que le lieutenant Abbie Mills a vu quitter les lieux du crime à cheval. Il décline son identité et clame son innocence, mais cette histoire peu crédible lui vaut un transfert en hôpital psychiatrique. Mais un second meurtre est commis alors qu'Abbie l'y conduit, et la jeune femme commence alors à accorder un semblant de crédit à son histoire selon laquelle un homme qu'il a décapité sur le champ de bataille serait à l'origine des meurtres...

    Et j'en pense quoi ?

    La difficulté que j'ai eue à écrire ce bref synopsis à peine trois jours après visionnage de l'épisode en question est assez parlante : clairement, on ne peut pas dire que j'ai été transcendé. Là où la découverte de Go On la saison passée avait été pour moi une véritable bonne surprise d'ouverture de saison, Sleepy Hollow m'a laissé pour le moins perplexe sur la qualité générale de l'offre 2013-2014.

    En toute objectivité pourtant, ce pilote assez rythmé n'a rien de proprement honteux, mais il présuppose qu'on fasse preuve d'une certaine ouverture d'esprit pour adhérer à son concept. Et, en ce qui me concerne, c'est probablement là que le problème se situe : le coup du candide qui se réveille dans une époque qui n'est clairement pas la sienne et doit s'y adapter, j'en suis malheureusement revenu depuis belle lurette ! Les Visiteurs, ça vous parle ? Parce qu'aussi triste que ce soit à dire, c'est précisément à ce film que j'ai pensé à la fin de la scène où ce brave Ichabod émerge de sa cave et atterrit sur le bitume. Le passage où un quidam fait une sortie de route sous ses yeux m'a fortement rappelé la scène du "Messire, un sarrasin !". Alors du coup, les grandes interrogations d'Ichabod sur le nombre de Starbucks au kilomètre carré ou l'abolition de l'esclavage, désolé, mais très peu pour moi !

    Bien que les événements s'enchaînent sans temps mort, cette difficulté à adhérer au postulat de départ m'a fait trouver le temps long, et c'est probablement pour ça que j'ai passé le plus clair de ce pilote à lever les yeux au ciel devant la grosseur des ficelles employées. Je pense notamment à ces deux scènes qui s'enchaînent où dans un premier temps, Abbie refuse d'évoquer son passé trouble avec Ichabod... pour finalement tout lui raconter par le menu détail moins de trois minutes plus tard ! Y'a que moi qui ai eu l'impression qu'on avait sauté une étape quelque part ou... ?

    De même, j'ai trouvé bien pratique qu'une simple visite pour se recueillir dans le bureau de feu le shérif permette à notre héroïne de trouver une grosse partie des réponses aux questions sur lesquelles la "résurrection" d'Ichabod l'a conduite à se pencher, grâce à la clef vers des documents secrets la plus mal cachée de l'histoire du monde. XD

    On déplorera aussi l'artifice vieux comme le monde du transfert annoncé d'Abbie, auquel on sait pertinemment qu'elle finira par renoncer à la seconde même où la notion de son départ est évoquée.

    Et sinon, je suis le seul à envisager de me barrer en courant au lieu de m'évertuer vainement à vider un chargeur quand je vois un homme sans tête s'approcher une hache à la main ?  Team Froussards FTW! XD

    Enfin, notons la subtilité avec laquelle l'ambition des scénaristes est dissimulée lorsque ce brave Ichabod informe Abbie le plus sérieusement du monde que sa bible indique que les deux témoins sont liés pour pas moins de sept ans. À ce niveau-là, il aurait pu nous parler du spin-off et de la franchise de films à venir derrière, tant qu'à y être !

    Si je dois concéder un bon point à ce pilote, il se situera au niveau visuel : les effets spéciaux sont très réussis, il est limpide que la production n'a pas lésiné sur les moyens à ce niveau-là et d'autres productions des chaînes concurrentes (notamment une dont les photos promotionnelles désastreuses ont eu tôt fait d'être retirées de la circulation, suivez mon regard...) feraient bien d'en prendre de la graine. Ça fait plaisir de voir qu'au moins un des aspects majeurs de ce que la série aspire à devenir a été traité avec soin.

    Du reste, je n'ai pas pour autant accroché à la mythologie relativement confuse proposée par ce pilote, qui demeure avant tout un outil de vente du produit à la chaîne, ne l'oublions pas.

    Avant de conclure, un mot sur l'interprétation, qui semble diviser le public, si j'en crois les quelques retours que j'ai pu lire au sein de la communauté sériephile sur Twitter. J'ai personnellement assez rapidement été agacé par Tom Mison, d'autres ont eu plus de mal avec Nicole Beharie, toujours est-il que clairement, le duo doit trouver ses marques pour être plus convaincant sur le long terme. Le rôle du capitaine de police pince-sans-rire dévolu à Orlando Jones est pour le moment tout ce qu'il y a de plus conventionnel et peine à susciter l'intérêt.

    Pour peu qu'on soit enclin à se laisser embarquer dans l'univers de la série et assez magnanime pour fermer les yeux sur des raccourcis scénaristiques relativement grossiers, Sleepy Hollow pourrait devenir au fil de la saison un honnête divertissement si la suite s'inscrit dans la droite lignée de ce pilote. Toutefois, je n'ai personnellement pas l'intention de poursuivre et je me permets d'avancer que je doute sérieusement que son éventuelle disparition peine grand monde, au vu de l'absence totale d'investissement émotionnel requis par ce qui s'annonce d'ores et déjà comme un procedural fantastique.

    Quoi qu'il en soit, rendez-vous très prochainement pour la suite du programme !

    Tiens, je t'ai pas déjà vu quelque part, toi ?

    Ironie du sort, cette histoire de décapitations fourmille de têtes connues : est-il réellement nécessaire que je vous présente John Cho, Nestor Serrano ou Clancy Brown ?


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  • Rien à voir - Épisode 2.01

     

    C'est déjà la rentrée pour Rien à voir, le podcast de mordus de séries capables de parler de tout, tout le temps et sans s’arrêter… ou presque.
     
    Avant de plonger dans la rentrée et son cortège de nouveautés,  Dylanesque, Dominique Montay, whisperintherain et Nicolas Robert parlent des séries qu'ils ont regardé à l'ombre, entre août et juillet.
     
    Au programme : un tour d'horizon (non exhaustif) des nouvelles saisons diffusées pendant cette période, un petit tour des séries qu'ils ont rattrapées pendant cette même période et un petit débat "Les high concepts donnent-ils de fausses bonnes idées de séries".
     
    Si vous aimez les barbes (comme Dylanesque) et les gens qui font des choses devant des caméras (n'est-ce pas, whisper ?), vous allez être contents. Si vous aimez Dexter (qui fait réagir Dominique - en 2 parties !) et les voyages en Ouganda (ce dont parle Nicolas, avec The Newsroom), un peu moins.
     
    LE SOMMAIRE
     
    0'00 : Intro
    1'57 : Web Therapy saison 3
       14'52 : Falling Skies saison 3
       22'54 : Breaking Bad saison 5B
       24'42 : Dexter saison 8
       28'17 : The Newsroom saison 2 (avec spoilers)
       39'22 : Wilfred saison 3
       42'18 : Promo Spéciale Dexter par Dominique Montay
       47'51 : Retour sur Parks & Recreation
       54'40 : Retour sur Wonderfalls
       57'50 : Retour sur la malédiction Zach Gilford (Off The Map, The Mob Doctor)
    1'00'00 : Retour sur Dilbert
    1'02'00 : Retour sur The Wire
    1'07'20 : Childrens Hospital saison 5 (nouveauté de cet été : on l'avait oubliée)
    1'10'31 : Retour sur Southland
    1'12'40 : Les high concepts, fausses bonnes idées de séries ?
    1'23'35 : Conclusion 1, Les Emmys et nous
    1'26'25 : Conclusion 2, avec un message subliminal sur The Wire
     
     
    Comme d'habitude, vos retours et vos avis sont les bienvenus. Bonne écoute !

     


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  • Bon, c'est bien joli de rigoler, les enfants, mais la saison 2013-2014 arrive à grands pas, et ceux d'entre vous qui me lisent encore ont eu l'occasion de s'apercevoir que j'avais pris un retard considérable dans le pari fou que ladyteruki et moi nous étions lancés voilà déjà un peu plus d'un an. Du coup, vous avez forcément déjà fait votre marché parmi les séries de la saison écoulée, mais qu'à cela ne tienne, ça ne m'empêchera pas de vous livrer mes impressions sur les œuvres concernées. Et si jamais vous n'avez pas encore lu l'avis de ladyteruki portant sur le même sujet, rien de plus simple que de cliquer sur la bannière que vous trouverez en fin d'article pour y remédier.

    The Neighbors 01x01 - Pilot

    Puisque la dernière critique en date se penchait sur Nashville, intéressons-nous de plus près aujourd'hui à la seule autre nouveauté reconduite pour une seconde année par ABC après une saison relativement pauvre en succès : The Neighbors.

    Qui, quand, où ?

    Dan Fogelman est le créateur de la série et scénariste de ce premier épisode, dont la réalisation est assurée par Chris Koch. La première diffusion sur l'antenne d'ABC a eu lieu le 26 septembre 2012.

    C'est avec qui ?

    La distribution principale est composée de Jami Gertz (Debbie Weaver), Lenny Venito (Marty Weaver), Simon Templeman (Larry Bird), Toks Olagundoye (Jackie Joyner-Kersee), Clara Mamet (Amber Weaver), Tim Jo (Reggie Jackson), Ian Patrick (Dick Butkus), Max Charles (Max Weaver) et Isabella Cramp (Abby Weaver).

    De quoi ça parle ?

    2002. Un groupe d'extraterrestres venus de la planète Zabvron prend forme humaine et s'installe dans la communauté résidentielle d'Hidden Hills, New Jersey afin de déterminer si la Terre serait un environnement vital approprié si le réchauffement climatique de leur planète rendait celle-ci inhabitable. Dix ans plus tard, l'un des couples de la communauté repart pour Zabvron et met donc sa maison sur le marché. Celle-ci est acquise par une famille humaine qui risque d'avoir quelques difficultés à s'habituer au voisinage...

    Et j'en pense quoi ?

    Pour ne rien vous cacher, il faut bien que je vous avoue que  je me lançais dans The Neighbors avec un a priori des plus négatifs. Dès la lecture du synopsis de la série pendant la saison des pilotes, j'ai commencé à redouter une comédie de potache tout ce qu'il y a de plus lourdingue et qui ne devrait plus être produit depuis des années. Les annonces de casting ne m'avaient pas franchement rassuré : outre Simon Templeman, aperçu brièvement en guest çà et là et Jami Gertz - contre qui je n'ai rien en particulier, mais que je trouvais plus efficace à petite dose dans ER ou Ally McBeal qu'en actrice principale de la très oubliable Still Standing, c'était un peu le rendez-vous des illustres inconnus. Bref, autant dire que j'étais déjà à moitié convaincu de tenir là une des premières daubes à oublier de toute urgence de la saison (musique dramatique, moment d'intense émotion au douloureux souvenir d'Animal Practice et de Guys with Kids).

    C'est donc dans un état d'esprit tout sauf neutre que je visionnais pour la première fois le pilote de The Neighbors voilà presque un an, au bout d'une soirée comédies où Don't Trust the B---- in Apartment 23 et le pilote de Partners l'avaient précédé. Autant dire que c'était cuit d'avance : entre mes préjugés, une série à laquelle je m'étais très vite attaché et une autre dont le pilote m'avait laissé pour le moins perplexe, je ne pouvais que détester The Neighbors, ou dans le meilleur des cas, y être totalement indifférent. Et naturellement, BINGO! Je jugeais ce pilote d'un intérêt limité et m'empressais de le mettre tout en bas de la liste des critiques à rédiger en priorité. C'est fou comme avec le recul, on se rend compte des erreurs stratégiques de base qu'on peut commettre.

    Ayant pris la décision de ne pas poursuivre la série, je m'étonnais toutefois au cours de la saison de l'enthousiasme qu'elle semblait générer parmi mes fréquentations sur Twitter et au sein de la blogosphère sériephile, si bien qu'après avoir traîné la patte pendant des mois, je décidais enfin de m'atteler aujourd'hui à cette fameuse critique et donc de revisionner le pilote pour l'occasion.

    Bien m'en a pris, car je pense que ce second visionnage m'a permis de mieux cerner ce que la série cherchait à être au lieu de chercher en vain confirmation de mes attentes de l'année dernière. Si je n'ai toujours pas énormément ri, j'ai été en mesure de relever cette fois-ci les notes d'humour décalé qui m'avaient totalement échappé au cours du premier visionnage. De même, j'ai été agréablement surpris de constater que les bases de l'enrichissement mutuel des vies de la famille Weaver et de la communauté extraterrestre étaient en fait déjà posées avec une relative subtilité dans ce pilote, et que les quelques gags plus démonstratifs n'étaient finalement pas ce à quoi la série se cantonnerait. J'ai également mieux apprécié les prestations des comédiens qui sont finalement bien plus drôles dans leur sobriété qu'ils ne pourraient espérer l'être en cabotinant à mort. Mention spéciale d'ailleurs au petit Ian Patrick qui incarne Dick Butkus et parvient à être à la fois attendrissant et absolument terrifiant.

    En prêtant une plus grande attention aux dialogues, j'ai aussi pu mieux apprécier les petits détails qui font le charme de la communauté extraterrestre, comme par exemple, le fait que chacun a choisi le nom d'un athlète car ceux-ci représentent le nec plus ultra de la condition physique humaine.

    Pour le coup, je retiendrai ce qu'une publicité d'antan nous martelait durant des années sans que ça rentre : il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis ! Et si j'en crois les conseils avisés de mes camarades téléphages ou ceux du créateur de la série dans une interview parue cette semaine en ligne, The Neighbors n'a pas fini de me surprendre. Y'a du rattrapage dans l'air, voilà ce que j'en dis !

    Tiens, je t'ai pas déjà vu quelque part, toi ?

    Eh bien, pour le coup, non ! Je n'ai vu personne nulle part, parce qu'avec sa grande distribution principale pour un pilote d'une vingtaine de minutes, The Neighbors ne pouvait pas vraiment se permettre de dilapider son budget et de perdre un temps précieux à nous présenter des guests, ce que je lui pardonne aisément.

    L'avis de ladyteruki, c'est par ici !

     


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  • Rien à voir - Épisode 1.03

     

    Rien à voir - le podcast de mordus de séries capables de parler de tout, tout le temps et sans s’arrêter… ou presque - prend de la hauteur ce mois-ci pour faire le point sur la saison qui vient de s'achever.

    Cette fois, ce sont Dylanesque, Dominique Montay, whisperintherain et Nicolas Robert qui prennent la parole pour évoquer ce qui les a marqués, côté networks comme côté câble.

    Au programme de ce troisième épisode :

    Rien à redire/ Rien à sauver : la bande parle de la saison 6 de Mad Men, mais également de la sensation Rectify avant de s'intéresser au lancement de The Goodwin Games, nouvelle comédie produite par les créateurs de How I Met Your Mother.

    Le débat : Que doit-on retenir de la saison télé 2012/2013 ?

    Les coups de cœur du moment : Hannibal (USA), Hatufim (Israël), Family Tree (USA) et The Neighbors (USA)

    Pour vous faciliter la navigation, voici un petit sommaire chapitré.

    De 0 à 2'15 : Intro (pleine de maillots de bain)

    De 2'16 à 38'18 : Rien à redire / Rien à sauver

    2'17 à 15'38 : Mad Men (saison 6 /avec des spoilers) 
    15'39 à 26'48 : Rectify
    26'48 à 38'18 : The Goodwin Games

    De 38'18 à 1'20'22 : Le débat  

    De 38'18 à 58'55 :  Le bilan 2012/2013 côté networks
    De 58'55 à 1'10'00 : le bilan côté câble
    1'10'00 à  1'20'22 : un coup d'oeil sur les upfronts

    De 1'20'23 à 1'38' : les coups de cœur

    De 1'20'23 à 1'22'22 : Hannibal
    De 1'22'22 à 1'25'56 : Hatufim
    De 1'25'56  à 1'31'12 : Family Tree
    De 1'31'13 à 1'33'50 : The Neighbors

    De 1'33'51 à 1'34'45: Conclusion 

    Comme d'habitude, vos retours et vos avis sont les bienvenus. Bonne écoute !


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  • Rien à voir - Épisode 2

    Rien à voir, épisode 1.02 : "Faut-il forcément s'identifier aux personnages pour aimer une série ?"

    Rien à voir, le podcast de mordus de séries capables de parler de tout, tout le temps et sans s’arrêter… ou presque, est de retour. Pour ce deuxième épisode, deux bonnes nouvelles pour commencer. La première : on a mieux réglé nos micros. La seconde : le fichier à télécharger est nettement plus léger.

    Côté casting, Dylanesque (du blog Dylanesque TV !) et whisperintherain (whisper to a screen) sont toujours là… et c'est Julia Lagrée qui vient prêter main forte à Nicolas Robert pour représenter le Daily Mars.

    Au programme de ce deuxième épisode :

    Rien à redire / Rien à sauver : les chroniqueurs reviennent sur la saison 4 de Community, la saison 3 d'Happy Endings et le lancement d'How to Live with Your Parents (for the Rest of Your Life).

    Le débat : Pour apprécier une série, doit-on forcément se sentir proche de ses personnages ?

    Les coups de cœur du moment : 30 grader i Februari (Suède), Puberty Blues (Australie), Rectify (USA) et In the Flesh (Angleterre)

    Comme la première fois, vos retours (et avis sur les séries évoquées) sont vivement attendus. Attention : si vous n'avez pas vu la fin d'Happy Endings, évitez le spoiler balancé entre 31'37 et 32'02!


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